Cette présentation vise à détailler les avantages et inconvénients d’une plateforme de veille documentaire économique complète, depuis l’extraction jusqu’à la …
RSS is meant to be consumed by machines and software, not by humans. The accronym is meaningless and we should not expose it to users.
Il y a quelques temps, trois ans et demi, quand même, j’avais évoqué le « hype cycle » de Gartner, cette courbe qui présente l’état de maturité d’innovations et nouveaux produits en devenir (http://tinyurl.com/c5ne2j6). Il y a quelques jours, Christophe Doré a consacré un post au même « hype cycle », l’envisageant sous l’angle de l’innvation en entreprise (http://tinyurl.com/o84y3fz).
A la lecture du billet de Christophe Doré, deux choses ont retenu mon attention. D’une part, l’invitation qui nous est faite de confronter les informations portées du graphique de Gartner avec les produits de son entreprise, à la recherche d’innovations potentielles. L’idée proposée est de décomposer la production et l’utilisation des produits en étapes simples et d’imaginer comment les technologies identifiées par Gartner pourraient impacter chaque étape. Bien sûr, certains couples (étape – technologie) seront vus comme hautement improbables, mais c’est justement là que les gisements d’innovations pourraient se loger. Christophe Doré nous cite, à ce sujet, l’exemple de limpression 3D de pizzas ou le frigo qui gère les listes de courses.
D’autre part, la confrontation des deux courbes, celles de 2012 et de 2015, qui montre qu’effectivement, les innovations évoluent et murissent.
Ainsi que l’avait déjà annoncé Axelle Lemaire, secrétaire d’État au numérique et porteuse du projet (notre actualité du 20 août dernier), l’avant-projet de loi « Pour une République numérique » est l’objet d’une consultation publique depuis ce samedi 26 septembre sur le site du ministère de tutelle, le ministère de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique, et pour une durée de trois semaines (jusqu’au dimanche 18 octobre).
Toute personne peut donc consulter cette plateforme et contribuer activement dessus.
Outre une courte vidéo d’accueil de la secrétaire d’État, on trouve une présentation des modalités et des buts de la consultation et le bouton pour entrer dans la partie contributive.
On entre alors dans l’avant-projet de loi (il ne deviendra précisément « projet » qu’une fois un texte arrêté et validé en Conseil des ministres et présenté au Parlement), structuré à partir de son plan (titres, chapitres, sections, articles).
Article par article, il est possible de contribuer de diverses manières : donner un avis, proposer une nouvelle rédaction ou un nouvel article. Il est prévu que le Gouvernement réponde à ces diverses observations ou propositions.
Les premiers commentaires et contributions sont déjà instructifs quant à l’implication de la frange de la population très concernée par le numérique en général et internet en particulier, de par leur nombre et aussi leur tenue en termes d’arguments. On est dans du collaboratif au meilleur sens du terme. Ce n’est pas la première fois que le Gouvernement consulte par voie de forum autour d’un texte, mais c’est sans doute le dispositif le plus achevé puisque bénéficiant des évolutions technologiques récentes.
La question qui reste entière, c’est quel compte sera tenu de ces observations émanant des citoyens…
La plateforme est ainsi présentée qu’elle permet de prendre rapidement connaissance de l’architecture du projet de texte, notamment au travers des intitulés des titres, chapitres, etc. et des articles eux-mêmes qui annoncent déjà toutes les nouveautés du futur texte. Nous reviendrons ultérieurement sur des aspects de celui-ci au fond.
Se rendre sur la plateforme de consultation publique (accès direct) :
www.republique-numerique.fr/
Le Pôle d’excellence cyber breton, qui regroupe une cinquantaine d’écoles, d’universités et des entreprises du secteur, vient de se structurer en association. Basé sur un triptyque formation, recherche et innovation, le pôle doit permettre de faire rayonner au niveau national et international, les compétences et savoir-faire de la région Bretagne dans le domaine. Il doit faciliter le recrutement, par les entreprises du secteur, de personnels spécialisés.
Réunissant près de 2 000 professionnels, ces Assises s’adressent avant tout aux opérationnels de la cybersécurité, occasion privilégiée d’échanges avec les différents acteurs du secteur. Présente du 30 septembre au 2 octobre, l’ANSSI apportera son expertise à travers trois interventions et aura le plaisir de vous accueillir sur son stand.
Le directeur général de l’ANSSI, Guillaume Poupard interviendra mercredi matin, lors de l’ouverture des Assises.
Les agents de l’ANSSI participeront aux tables rondes suivantes :
« Industrie 4.0 : quelle place pour la sécurité ? » (30 septembre de 17h à17h45)
« Secure Cloud Plus : Un référentiel pour garantir la sécurité des prestataires de Cloud » (1er octobre de 15h à 15h45)
« Le DSI face aux questions de Cyber » (2 octobre de 16h à 16h45)
